Envisagez la société comme le prolongement du ventre maternel !

La société est un prolongement de la biologie. Dedans, c’est chaud, ou froid, plein, ou vide, ça a faim, ou soif, c’est de l’énergie. Dehors, n’est qu’apparemment dehors, c’est la suite, l’organisation biologique de l’individu se prolonge par l’organisation biologique du groupe. Le groupe doit obéir aux astres, les mouvements du soleil et de la lune déterminent le temps, les saisons et aussi les directions. Les temps d’abondance, ceux de restriction et de famine, l’organisation sociale c’est d’abord se nourrir et se protéger, à plusieurs ce sera plus facile. La société se développe ainsi, elle attend le nouveau-né pour qu’il prenne sa place, participe et assure un rôle.

La société apparaît sous forme de pressions : les autres, les lois, les règles, le temps, les attentes, les succès et les échecs. Les projections sont des forces invisibles, des réseaux d’énergies qui fabriquent cette cohésion sociale. Ces pressions et ces projections sont associées à la punition, apparemment non dite, évidement présente.

La société moderne et mondialisée est atteinte de frénésie : pour être social consommez, bougez, soyez informé !

Pour connaître le bonheur ne quittez jamais le ventre de votre mère ! Vous serez alors conscient de votre indépendance et de votre liberté. La société est à l’extérieur, vous participez, ce que vous êtes vraiment est autonome. Là vous trouverez une force et une place sociale.